Sans doute peut-on déplorer que le match Barça – Bayern ait totalement éclipsé la rencontre, tout aussi importante, qui eut lieu ce lundi 4 mai à Namur.
D’un côté, le Campus Saint-Jean de Molenbeek. Huit membres dont les compétences n’ont d’égal que la détermination. Des tenaces. Un groupe de portée internationale (Roumanie, Syrie, Turquie, Congo, Guinée Conakry…), d’une stabilité à toute épreuve (aucun changement notable depuis un an), encadré par un staff puissant (quatre expertes, excusez du peu !).
En face, l’I.T.N. Quinze participants péniblement rassemblés à partir de deux groupes distincts, avançant en ordre dispersé. Beaucoup de forts en gueule et de bras cassés à l’humeur volatile. À peine plus de sept éléments ayant un jour fait preuve de responsabilité et de constance dans l’effort, un membre seulement ayant déjà rencontré « les autres » ! Le staff (Marie Ancion, Olivier Hecquet) n’en menait pas large.